Tennis : Coupe Davis nouvelle mouture : la belle victoire de l’Espagne n’efface pas les polémiques
La nouvelle mouture de la Coupe Davis, bébé du défenseur du FC Barcelone, Gérard Piqué, a connu des débuts contrastés. En Premier lieu, la belle victoire de l’équipe locale, l’Espagne, porté par un Rafael Nadal, héroïque, qui a remporté ses huit matchs (5 simples et 3 doubles) sans perdre un seul set et un Roberto Bautista-Agut, qui s’est imposé lors de son simple en finale face au Canada, 3 jours seulement après avoir perdu son père, n’étaient pas sans rappeler les grandes joutes du passé, mais cela n’efface pas les déboires du début de la compétition :
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Ramassé sur une semaine, la compétition, qui comportait 18 participants, a donné lieu à un calendrier ubuesque avec des rencontres se terminant à 4h du matin afin de respecter le planning initialement prévu. Autre critique de cette édition, exception faite des matchs de l’équipe locale, de nombreuses rencontres se sont disputées devant un public pour le moins clairsemé, notamment la rencontre opposant la France au Japon, disputée devant 400 spectateurs :
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Enfin, La formule de jeu de cette édition, comportant deux simples et un double, a engendré des situations pour le moins dérangeantes, notamment l’abandon du double canadien, vainqueur de ces 2 simples et qualifié pour les ¼ de finales sans avoir à disputer cette rencontre ou encore le double entre la France et la Serbie, joué pour « du beurre », Tsonga et Paire s’étant inclinés face à Djokovic et Krajinovic. Des français justement, qui, malgré un statut affiché de favoris, n’ont pas rallié les ¼ de finales, terrassés par les serbes en phase de poules et éliminés en qualité de 4ème seconds (seuls les deux meilleurs seconds étaient qualifiés). En définitive, la victoire finale de l’Espagne et l’émotion partagée avec son public restera comme le grand moment de cette première édition de cette nouvelle Coupe Davis, que Gérard Piqué s’est engagé à améliorer pour les années à venir. Réponse l’an prochain, toujours à Madrid, qui sera encore le théâtre des 2 prochains éditions.
Ligue 1 : Le PSG tranquille, l’OM reste dauphin, Angers sur le podium
Solides du début à la fin de la rencontre, le PSG n’a pas eu à forcer son talent pour disposer d’une équipe de Lille beaucoup trop timorée et qui n’a opposé qu’une faible résistance au leader de la Ligue 1. Pour cette rencontre, le coach parisien avait choisi de titulariser quelques revenants, comme Draxler, Meunier et surtout Neymar et de laisser sur le banc Edinson Cavani ou encore Kylian Mbappé. Ces remaniements n’ont pas empêché les parisiens d’imposer leur jeu et de s’imposer sans trembler en moins de trente minutes. Des réalisations de l’inévitable Icardi et de Di Maria en première période ont suffi pour assurer aux joueurs de la capitale un succès précieux avant le déplacement à venir en terre madrilène qui pourrait décider de la première place de leur poule de Ligue des Champions :
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Toujours dauphin du PSG après son succès face à Lyon avant la trêve internationale, l’OM s’est imposé sur la pelouse de Toulouse, qui stagne à l’avant dernière place, suite à sa quatrième défaite consécutive, sur le score de 2 à 0 grâce à des réalisations de Dario Benedetto, qui retrouvait le chemin des filets après 5 matchs stériles et Nemanja Radonjic, auteur de son premier but en France. Vainqueur de Nice 2 buts à 1 malgré plus de 50 minutes en infériorité numérique, les lyonnais retrouvent des couleurs et pointent désormais au 7ème rang. En déplacement en gironde, les monégasques sont retombés dans leurs travers malgré l’ouverture du score de Slimani au quart d’heure de jeu. L’égalisation de Pablo à la 30ème minute et un pénalty de De Préville à 20 minutes du terme ont scellé le sort de cette 6ème défaite de la saison pour le club de la principauté, qui sort du Top 10 au 14ème rang. Tenu en échec sur leur pelouse par Montpelier, les stéphanois ratent l’occasion de rester sur le podium et retombe au 5ème rang. Dans cette édition 2019-2020 de la Ligue 1 particulièrement serrée et indécise la moindre victoire ou défaite peut faire basculer une équipe de l’Europe à la relégation. Ainsi, Angers qui s’est imposé face à Nimes, 1 à 0, est désormais sur le podium mais ne compte que six longueurs d’avance sur Rennes, 11ème qui s’est incliné à Dijon, 17ème, 2 buts à 1 ou encore Brest qui a tenu en échec Nantes sur sa pelouse 1 but partout. Ainsi, après 14 journées de championnat, le 5ème Reims, tenu en échec à Metz, 1 but partout, ne compte que 5 points d’avance sur le 17ème, Dijon. En bas de classement, Toulouse et Nimes, qui pointe respectivement à 3 et 4 points des dijonnais ne sont pas distancés mais ne disposent plus de beaucoup de jokers pour éviter la descente à l’échelon inférieur.
Angleterre : Mourinho, Première réussie mais dans la douleur
Pour son grand retour sur un banc de Premier League, José Mourinho, le néo entraineur de Tottenham en remplacement de Mauricio Pochettino, a souffert mais a finalement vu ses hommes s’imposer 3 buts à 2 sur la pelouse de West Ham :
De quoi satisfaire mais pas nécessairement rassurer l’exigeant coach portugais, qui sort de 11 mois de retraite et qui va devoir s’employer pour remplir les objectifs élevés de son club seulement 10ème actuellement. Toujours solide leader, Liverpool s’est imposé 2 buts à 1 à Crystal Palace pour conserver 8 points d’avance sur Leicester, qui confirme, journée après journée, ses ambitions, comme en témoigne sa victoire de ce week-end sur la pelouse de Brighton, 2 buts à 0. Dans le choc de cette 13ème journée, Manchester City, seulement 3ème à 9 points des Reds, s’est défait de Chelsea sur le score de 2 buts à 1, malgré l’ouverture du score pour les londoniens par le français Ngolo Kanté, dès la 21ème minute. Toujours en grande difficulté depuis le début de cette saison, les Gunners d’Arsenal ont, une nouvelle fois, peiné dans leur antre de l’Emirates Stadium en concédant le nul 2 buts partout face à Southampton. Le constat n’est guère plus reluisant pour une équipe de Manchester United, toujours privé de Paul Pogba et qui concède un match nul spectaculaire sur la pelouse de Sheffield 3 buts partout. Les joueurs d’Ole Gunnar Solskjær, qui étaient menés 2 à 0 avant de marquer 3 buts entre les 72ème et 79ème minutes, ont été rejoints dans les derniers instants et restent dans le ventre mou du classement à la 9ème place à 20 points de Liverpool.
Espagne : statu quo en tête de la Liga
Respectivement vainqueurs sur la pelouse de Leganés et face à la Real Sociedad, le Barca et le Real restent en tête de la Liga. Malmenés par le dernier de cordée, qui a ouvert le score avant le quart d’heure de jeu, les blaugrana s’en sont remis à Luis Suarez et Arturo Vidal en seconde période pour remporter un petit mais précieux succès. Egalement menés au score dès la 2ème minute sur leur pelouse de Bernabeu, les merengues ont beaucoup moins tremblé et ont notamment pu compter sur un Karim Benzema toujours aussi décisif et auteur de son 10ème but en Liga cette saison, qui lui permet d’être en tête du classement des buteurs, pour revenir au score et s’imposer en seconde période. Tenu en échec 1 but partout sur la pelouse de Grenade, l’Atlético Madrid abandonne sa 3ème place au profit du FC Séville, qui s’est imposé 1 but à 0 sur la pelouse de Valladolid.
Allemagne : Lucien Favre en grand danger
Sévèrement battu par le Bayern de Munich 4 buts à 0 avant la trêve internationale, les joueurs du Borussia Dortmund ont subi une nouvelle déconvenue en concédant le nul à domicile face au dernier de Bundesliga, Paderborn, qui menait 3 à 0 à la pause. Les hommes de Lucien Favre, dont la place est clairement menacé ont dû attendre les 10 dernières minutes pour marquer par deux fois et arracher un match nul insuffisant au regard des ambitions du club de la Ruhr, qui se retrouve 6ème au soir de cette 12ème journée. De leur côté les bavarois ont de nouveau passé un « 4-0 » à leurs adversaires. Cette fois-ci la victime des coéquipiers de Benjamin Pavard et Corentin Tolisso, tous deux buteurs, se nomme Düsseldorf. Malgré ce net succès, les munichois ne sont que 3ème au classement, devancés par le Borussia Mönchengladbach et le RB Leipzig, respectivement battu 2 à 0 à Berlin et vainqueur de Cologne, 4 buts à 1.
Italie : la Juve s’en sort péniblement et reste seul en tête
Malmenés chez le 5ème de Série A, l’Atalanta, qui a ouvert le score peu avant l’heure de jeu, les turinois, privés de Cristiano Ronaldo, ménagé après une légère blessure au genou, ont dû attendre le dernier quart d’heure et un doublé d’Higuain auquel s’ajoute une réalisation de Dybala, pour s’imposer finalement 3 buts à 1. Malgré ce premier succès depuis 7 journées par plus d’un but d’écart, la vieille dame n’a pas rassuré avant de défier l’Atlético en Champions League, et a surtout réveillé de vieux démons en profitant, une fois de plus diront certains, de certaines largesses arbitrales, beaucoup trop coutumières au goût des détracteurs des Bianconeri. En déplacement au Torino, l’Inter a fait beaucoup moins de détail et s’est largement imposé 3 buts à 0 pour recoller à un petit point du leader. Egalement vainqueur en déplacement à Sassuolo, 2 buts à 1, la Lazio de Rome grimpe sur le podium et devance son éternel rival, l’AS Rome, large vainqueur de Brescia 3 à 0 au Stade Olympique, de 2 points. Tenu en échec sur la pelouse du 17ème Lecce, Cagliari rate une occasion en or de rester sur le podium et rétrograde au 4ème rang à égalité avec la Louve. Toutes deux en difficulté cette saison, les équipes du Milan AC et du Napoli ont partagé les points à San Siro 1 but partout pour un résultat qui ne satisfait aucune des deux équipes, respectivement 13ème et 7ème de cette édition 2019-2020 du Calcio à 15 et 21 points de la Juventus.
Rugby : Bilan mitigé en Coupe d’Europe pour les clubs français
Ce week-end en Ovalie était consacré, comme le précédent, aux Coupes d’Europe. En Champions Cup, les clubs français ont connu des fortunes diverses. Tandis que Toulouse, vainqueur avec le bonus offensif de Connacht, 32 à 17 ou encore Montpelier, dans la même poule que les rouges et noirs, difficile tombeur de Gloucester 30 à 27, parvenaient à tirer leur épingle du jeu et occuper les 2 premières places du groupe 5, le sort était beaucoup moins favorable pour l’ASM, le LOU, pourtant leader du Top 14 ou encore La Rochelle, tous battus cette semaine. Favori de la compétition aux yeux des bookmakers, les clermontois sont revenus de leur déplacement en Irlande pour affronter l’Ulster avec le point du bonus défensif et une défaite 18 à 13, qui offre la première place du groupe aux locaux devant les asémistes qui suivent à 2 petits points. Battus à Sale par les Sharks, les rochelais se retrouvent dans une position des plus inconfortables avec un zéro pointé dans cette compétition et la dernière place d’une poule 2, dominée par les Chiefs d’Exeter, qui comptent 2 succès bonifiés en deux matchs dont le dernier en date, 34 à 18, face à Glasgow. Face au dernier finaliste de la compétition, le Leinster, le LOU a résisté mais a dû céder finalement 13 à 6, dans un match fermé et défensif. Ce petit point, le premier de la compétition pour les lyonnais les laissent à la dernière place de la poule 1 à 8 points des leaders irlandais. Déjà vainqueur des tenants du titre, les Saracens, la semaine dernière avec le bonus offensif, le Racing 92 a ramené un nul précieux de son déplacement en Irlande face au Munster, 21 partout lors d’un match de très grande facture :
Ce résultat positif permet au club de la capitale de conserver la tête de la poule 4 et de rêver à une qualification malgré un groupe relevé dans lequel, les Sarries, détenteur du trophée, ne pointent qu’au 3ème rang malgré leur large victoire face aux Ospreys, 44 à 3.
En Challenge Cup, le bilan des clubs français n’est guère meilleur que dans la grande Coupe d’Europe avec 4 victoires, 1 nul et 3 défaites. Triple vainqueur de la Champions Cup il y a 5 ans, les toulonnais ne connaissent plus la même réussite et ont souffert pour venir à bout d’une équipe des Scarlets pourtant réduite rapidement à 14, 17 à 16 grâce à un essai transformé dans la dernière minute. Même scénario pour le stade français, en grande difficulté en Top 14, qui s’impose d’un point en Italie face aux Zebre. Succès plus facile pour Castres, 17 à 9, face aux Scarlets et surtout pour Pau qui a atomisé les italiens de Calvisano, 61 à 10. Au rayon défaite, Brive, à domicile, a subi la loi du leader de la Premiership anglaise, 36 à 0. L’autre promu Bayonne n’a pas connu meilleur sort à Londres face aux Irish mais ramènent tout de même le bonus offensif avec une défaite 45 à 31. Malgré deux essais à Coventry face aux Wasps, Agen revient également de son déplacement britannique avec un revers 32 à 14. Enfin, Bordeaux, au terme d’une rencontre terne et au cœur d’un Murrayfield, qui sonnait creux, revient de son déplacement en Ecosse pour y affronter Edimbourg avec les 2 points du nul pour un résultat final de 16 partout.
NBA : Des Lakers et des Bucks toujours au Top. Dallas et New-Jersey sortent du bois
Irrésistibles depuis le début de la saison NBA, les Lakers ne faiblissent pas et enchainent un 7ème succès consécutif pour présenter le meilleur bilan de la Ligue avec 14 victoires pour seulement 2 défaites, dont celle inaugurale face aux rivaux des Clippers, qui pointent au 3ème rang avec déjà 5 défaites. Ils sont devancés par des Nuggets, toujours efficaces après leur excellent exercice précédent, avec un bilan de 12 victoires pour 3 défaites. Derrière ce trio, les Mavericks de Dallas sortent du bois à la faveur d’une victoire de prestige face aux voisins de Houston, les Rockets :
Portés par un Lucas Doncic, toujours plus décisif match après match et qui affiche le meilleur ratio PER (Player Efficiency Rating, soit l’efficacité d’un joueur ramené à son temps de jeu) de l’histoire de la NBA, devant quelques grands noms comme Wilt Chamberlain, Lebron James ou encore un certain Mickael Jordan, les texans font clairement figure d’épouvantails pour les playoffs à venir et enchainent un 5ème succès consécutif pour figurer désormais au 4ème rang de la conférence Ouest). Toujours privés de ses stars, les Golden State Warriors poursuivent leur chemin de croix avec une dernière place à l’Ouest et seulement 3 victoires pour 14 défaites. De l’autre côté du pays, les Bucks restent au top avec un 7ème succès consécutif, qui leur permet de conserver la tête de la conférence devant une équipe de Boston, qui marque le pas avec deux défaites de rang. Champions en titre, les Raptors de Toronto, malgré le départ de leur star, Kawhi Leonard, enchainent 3 succès de rang pour rejoindre Boston et Miami à la place de dauphin de Milwaukee. Pourtant privés pour la saison de Kevin Durant et également de Kyrie Irving, touché au genou, les Nets de Brooklyn, enchainent 3 victoires de rang, dont le derby face aux voisins des Knicks pour prendre en place parmi les potentiels qualifiés pour les play-offs avec une 8ème place et un bilan équilibré de 8 victoires pour autant de défaites. Du côté des Knicks, où Franck Ntilikina semble trouver ses marques après un championnat du Monde remarquable, le bilan est nettement moins reluisant avec seulement 4 victoires et une dernière place de leur conférence.
Ski alpin : Clément Noël beau deuxième à Levi
Après une longue pause de plusieurs semaines depuis le lancement de la saison à Sölden fin octobre, la coupe du monde de Ski Alpin reprenait du service en Finlande à Levi avec au programme un slalom hommes et femmes. Presque à domicile et devant un public acquis à sa cause, Henrik Kristoffersen s’est rappelé aux bons souvenirs de ses adversaires en s’imposant pour la première fois en slalom depuis février 2018. Le champion du monde de Géant 2018, seulement quatrième à l’issue de la première manche, devance finalement, le français Clément Noël de 9 petits millièmes, privant ainsi le tricolore d’un quatrième succès en carrière :
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Le champion du monde 2018 de la spécialité devra donc attendre encore avant de goûter aux joies de la victoire en Coupe du Monde. Chez les filles, le succès est logiquement revenu à la reine de la discipline et du ski féminin en général, l’américaine, Mikaela Shiffrin, qui devance la suissesse Wendy Holdener et la surprenante autrichienne Katharina Truppe de presque deux secondes. L’autre favorite de cette épreuve, la slovaque Petra Vlhova n’a pas fini la seconde manche. Après sa seconde place lors du slalom géant inaugural, la championne américaine remets les pendules à l’heure et se positionne déjà comme la grande favorite à sa propre succession dans la quête du gros globe de cristal et de ceux du Slalom, du Géant et du Super-G, dont elle est également tenante du titre.
Saut à skis : frayeur pour Piotr Zyla. Premier succès pour Tande
Lors du concours inaugural de cette saison 2020 de Saut à Skis, remporté par le norvégien Daniel André Tande devant le surprenant slovaque Anze Lanisek, auteur de son premier podium en carrière et le local Kamil Stoch, le drame a été évité de peu. Egalement à domicile, le local, Piotr Zyla est lourdement tombé à la réception de son premier saut, provoquant un silence soudain et angoissant dans le stade :
Après que sa tête a lourdement heurté le sol, le sauteur polonais va perdre connaissance quelques secondes avant finalement de se relever avec la tête en sang et une grosse coupure au sourcil, mais heureusement rien de grave. Cette grosse frayeur vient cependant rappeler que cette discipline spectaculaire n’en est pas moins dangereuse pour des athlètes qui prennent des risques énormes à chaque saut pour aller toujours plus haut et plus loin.
Golf : Mike Lorenzo-Vera tout proche de l’exploit
En tête depuis le premier tour des grandes finales du circuit européen de Golf à Dubaï, le français Mike Lorenzo-Vera échoue finalement au 3ème rang, malgré un dernier tour solide en 70. Parti en dernière partie aux côtés du futur vainqueur de l’épreuve John Rahm, le basque a subi le départ canon de l’espagnol, auteur de 5 birdies sur ces 7 premiers trous et n’a jamais trouver les ressources pour refaire son retard :
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Auteur de la carte du jour avec un 65 (-7), l’anglais Tommy Fleetwood, resté en embuscade toute la journée, échoue finalement à la seconde place à un coup du vainqueur et un coup devant le français. Avec cette performance de choix, malgré la déception légitime qui l’accompagne, le bayonnais occupe désormais la 66ème place au classement mondial, soit sa meilleure performance depuis ses débuts professionnels en 2008. De bon augure pour les prochaines échéances à venir.
Boxe : Le grand come-back de Mayweather
Le champion de 42 ans invaincu en 50 combats et désigné champion du monde dans cinq catégories différentes pourrait faire son retour sur les rings en 2020 après une retraite prise en 2017. Considéré comme l’un, si ce n’est le plus grand boxeur des années 2000 et élu boxeur de l’année en 1998 et 2007, Floyd « Pretty Boy » Mayweather a annoncé sur les réseaux sociaux son grand retour en 2020 ne laissant que peu de doutes sur sa volonté de revenir sur les rings :
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Reste désormais à savoir la forme que prendra ce retour puisque le boxeur américain s’est affiché avec le président de l’UFC (Ultimate Fighting Championship) Dana White, disant travailler de nouveau avec lui pour «apporter au monde un autre événement spectaculaire en 2020". De quoi largement alimenter les rumeurs d’une reconversion en MMA ? Réponse dans les semaines ou les mois à venir ...
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