Retrouvez Weekly sur Facebook

Walhalla

Cinq choses à savoir sur la Coupe du monde féminine de football

Voici quelques petites anecdotes pour la compétition qui a démarré vendredi dernier, jusqu'au 7 juillet.

1) Ettie la mascotte.

Ettie est un gros poussin, vêtue d'une marinière bleu-blanc-rouge "France 2019", d'un short et de chaussettes bleu et de crampons rouges. "Audacieuse, facétieuse et épanouie, elle incarne la liberté et notamment celle des jeunes filles de jouer au football", a expliqué la FIFA.


2) Il s'agit de la 8ème édition de la coupe du monde féminine de football.

D'autres avaient eu lieu avant mais la première édition officielle s'est déroulée en 1991 en Chine. Les Etats-Unis avaient gagné la compétition. Et c'est aussi la sélection américaine qui a remporté la dernière en 2015, qui a lieu au Canada. Cette année en France, 9 villes accueillent des matchs.


3) Combien y-a-til d'équipes en lice ?

Pour ce mondial, elles sont 24. Afrique du Sud, Allemagne, Angleterre, Argentine, Australie, Brésil, Cameroun, Canada, Chili, Ecosse, Espagne, France, Italie, Jamaïque, Japon, Nigeria, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Corée du Sud, Chine, Suède, Thaïlande, Etats-Unis.


4) Les 23 Bleues sont-elles toutes uniquement joueuses de football ?

Et non, contrairement à tous leurs collègues masculins, certaines exercent d'autres activités professionnelles en dehors des terrains. Gaëtane Thiney reste dans le milieu puisqu'elle est conseillère technique en charge du développement du football chez les jeunes à la FFF, Charlotte Bilbault est en charge du développement du football féminin dans un club de région parisienne. La plus suprenante est sans nul doute Maéva Clemaron qui, dans le civil, est architecte ! On peut aussi citer Elisa Bussaglia qui est actuellement en disponibilité de son poste de professeur des écoles ou Marion Torrent qui a déjà passé ses diplômes pour "l'après football" de préparatrice physique et coach sportif.


5) Quelle différence avec le mondial masculin ?

11 joueuses, 90 minutes de match... Dans l'organisation et le déroulé des rencontres, il n'y en a pas. C'est du côté financier en revanche que les écarts sont importants. Si les Bleus ont touché entre 300 000 et 400 000 euros après leur sacre en Russie, les Bleues pourraient toucher au maximum 40 000 euros. Ce n'est pas le cas de la sélection sud-africaine qui a réussi à obtenir de leur fédération des primes égales à celles de la sélection masculine. 

Et vous, quel est votre avis ? Exprimez-vous ! Réagissez à cet article.


Suivez-nous

Les auteurs